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Une fille de 1980
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10 décembre 2007

Madrid, Part II

Où en étais-je??? oui, samedi matin!
Levées tambour battant, pas une minute à perdre. Un passage à la chocolaterie San Gines pour le meilleur Chocolate con churros de la ville (il parait... et c'est vrai qu'il est très bon!!). Puis direction les boutiques du côté du Corte Ingles. Opération dévalisage (dévalisation...? ;) ) du stand de chorizo et de turron. C'est pas pour faire ma touriste, mais juste parce que j'aime çà!!
Je me dirige ensuite vers le Centro Reina Sofia. Mon but : Guernica. Vue et revue dans les livres d'arts, je veux voir la toile de mes propres yeux, ressentir tout ça "en live".


DSC01890

D'ailleurs, en sortant du musée, j'ai fait un tour à la boutique, pour finalement acheter ces 2 cartes. La première est l'oeuvre d'Eugenio Ampudia, articte contemporain espagnol, qui est à l'origine d'une "action artistique" pour certifier l'existence de Guernica. J'ai trouvé le comcept intéressant, dommage seulement que le musée n'aille pas au bout de l'oeuvre : personne n'a signé et tamponné mon certificat! En France, je l'aurai demandé, mais mon espagnol, ou plutôt mon absence d'espagnol ne me le permettait pas...

En sortant, je me retrouve face à la Gare d'Atocha, ou ont eu lieu les attentats de Madrid. C'est peut être bête, mais j'ai un pincement au coeur... comme à Paris, à chaque fois que je passe à Saint Michel en métro ou en RER.

Je poursuis vers le jardin du Retiro. En passant, je tombe sur le marché aux livres, celui auquel Arturo Perez-Reverte fait référece dans son livre, le cimetière des bateaux sans nom. J'achète même un livre en espagnol, me disant que je vais m'y mettre, et que bientôt, oui bientôt, il sera mien...

J'atterie non loin du Palacio de Cristal, peit bijou perdu entre les arbres... Je vous laisse admirer :


DSC01796

Puis promenade le long d'un lac (non, ps celui là, un autre!), avant de rejoindre le musée du Prado.

Billet jumelé pour admirer aussi l'expo consacrée à Velasquez, il aurait été dommage de rater ça. J'ai constaté que personnellement, Goya, "c'est pas ma came" comme dirait un de mes collègues! J'admire le style, la qualité de la peinture, les différentes périodes qui ont jalonné sa carrière, mais je n'accroche pas plus que ça!

Il y a au musée du Prado tout une partie peinture consacrée à la période Espagnole, au moment de l'inquisition et de la grande Espagne catholique. C'est noir, guindé et austère, voilà mon avis. Comme si une chappe de plomb était tombée sur les épaules des peintres... Je préfère de loin la peinture italienne de la Renaissance, les maîtres tels que Da Vinci, Boticelli et autres...

J'ai donc apprécié cette visite, mais c'est sans comparaison avec celle de la National Gallery, ou de la Gallerie des Offices à Florence, ni surtout celle du Louvre!

 

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